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Sortir du placard à balai et faire face au regard des autres
Parmi les questions que l’on me pose le plus souvent lors des consultations, des cours ou des rencontres, la plus fréquente est très certainement celle de savoir comment mon entourage et les personnes que je rencontre réagissent au fait que j’exerce la cartomancie. Ces interrogations sont souvent motivées par le fait que je sois à l’aise dans mon activité et que je ne cherche pas à éviter les questions si l’on m’en pose. Au contraire, j’y réponds avec plaisir car je sais combien il peut s’avérer difficile de faire accepter comme « normale » des pratiques que beaucoup regardent de travers ! Car malheureusement, nombreux sont les cartomanciens, amateurs comme professionnels, qui se trouvent désarmés lorsqu’ils sont confrontés à ce genre de réactions.
Vivre caché pour vivre heureux ?
S’il est juste – car prudent – d’appliquer le principe du « pour vivre heureux, vivons cachés », il faut bien avouer que dans la pratique, cet adage trouve rapidement ses limites et que, dans bien des cas, ce qui était au départ un sage conseil finit par se retourner contre celui qui l’adopte. En effet, toute chose dissimulée est considérée comme suspecte car en règle générale, ce que l’on ne dit pas est inavouable et tient du secret honteux, cachant forcément des pratiques douteuses, voire répréhensibles. Or, est-ce le cas en cartomancie ? Non, puisque depuis une vingtaine d’années, elle est reconnue légalement comme une activité autorisée. Alors pourquoi se cacher ? Pourquoi se sentir coupable de pratiquer cette passion ? La réponse tient malheureusement en quelques mots : pour éviter d’essuyer les railleries de personnes qui aimeraient bien ridiculiser le passionné à grands coups de « ah bon, tu crois à ces âneries ? » (pour rester polie !) et autres réflexions tout aussi sagaces et pertinentes. Cette attitude cache en réalité non une hostilité catégorique, mais bel et bien la peur qu’éprouve l’interlocuteur face à des pratiques qu’il ne comprend pas. En effet, l’ignorance et la peur mènent au mépris et à la méchanceté, car il est beaucoup plus facile d’être dans le rejet plutôt que dans la curiosité et la remise en question. L’être humain est ainsi fait que peu avoueront qu’ils n’y connaissent rien mais souhaiteraient que l’on éclaire leur lanterne !
Faut-il pour autant se résigner et se dire que l’on n’a d’autre choix que d’accepter les remarques désobligeantes sans rien dire ? Pas du tout ! Toutes les personnes qui pratiquent les arts divinatoires ont, à un moment de leur vie, eu affaire à des gens qui les ont rabaissés, n’hésitant pas à essayer de les faire passer pour des erreurs de la Nature ou pour de risibles bêtes de foire. Ceux qui se voient ainsi désignés sous le doux sobriquet de « monstres », profondément peinés, ne savent généralement pas réagir tant la peine est grande.
C’est ce genre d’attitude qui tend à nous faire accepter cette condition comme étant « anormale ». Pourtant, il n’y a rien d’anormal ni d’extraordinaire à pratiquer ce genre d’activité ! Or, tant que l’on ne réussit pas à s’en convaincre soi-même et à regarder cette passion comme « légitime », comment les autres pourraient-ils la considérer comme telle ? C’est là qu’intervient toute la difficulté de faire preuve de confiance en soi et d’assurance.
Se confronter au regard des autres
J’ai commencé à lire les cartes vers l’âge de 12 ans et j’ai eu la chance inouïe que mes parents n’y voient rien de « diabolique ». Ce qui a démarré comme un jeu – je voulais savoir comment cela fonctionnait – s’est rapidement installé comme une passion qui ne me quitterait pas. En quelques années, je tirais même les cartes à mes camarades de lycées et à mes professeurs, médusés de voir leur vie étalée sous leurs yeux. À cette époque, je ne me suis jamais posé la question de savoir si ce que je faisais était « bien » ou « normal », et ce pour une raison très simple : je n’imaginais pas que cela puisse être « mal vu » tellement cette activité me semblait naturelle ! J’ai donc continué à développer mes connaissances et ai multiplié les supports, animée par une passion grandissante.
Ce n’est que bien plus tard, lorsque j’ai changé d’environnement dans le cadre de mes études universitaires, que les cercles de personnes que je côtoyais se sont élargis et que, alors que je m’attendais à trouver une certaine ouverture d’esprit auprès de gens (très) instruits, que mes points de repère ont été chamboulés : je me suis rendu compte pour la première fois que certains condamnaient ces pratiques et les rejetaient catégoriquement. Je n’ai pourtant jamais tenté de les imposer à qui que ce soit, mais certaines réactions frisaient la peur panique ! Voilà qui m’étonna grandement, parce qu’encore une fois, je ne voyais pas ce qu’il y avait de dangereux ou de condamnable là-dedans : cela faisait partie de moi et je ne faisais rien de mal puisque j’apportais par ce biais l’aide dont bien des personnes – y compris moi-même ! – avaient besoin. Ce type de réaction m’a montré que certaines personnes étaient fermées à ce genre de choses qu’elles refuseraient en bloc, quoi que l’on fasse. D’autres pouvaient s’y ouvrir malgré leur peur initiale, si tant est que les arguments adéquats étaient trouvés pour entamer la discussion. Il suffisait alors de commencer par essayer de comprendre d’où venait cette peur et de les rassurer en expliquant les choses de façon rationnelle afin qu’elles voient qu’il n’y avait rien de « magique » et encore moins de « divin » là-dedans ! Une fois la preuve apportée qu’il n’y a aucun « don » et que le « devin » n’est autre que quelqu’un qui a travaillé et acquis un savoir et des techniques, l’attitude de l’interlocuteur changeait et ce qui était d’abord de la peur se transformait en curiosité.
Les véritables comportements hostiles arrivèrent surtout de la part de personnes dont je ne m’attendais pas à ce type de bassesses. Les pires expériences sont liées à des gens qui se sont d’abord montrés curieux et fascinés lorsqu’ils ont su que je manipulais les cartes mais qui, dès qu’ils ont vu à quel point leurs secrets pouvaient potentiellement être percés à jour, ont pris peur et se sont mis à me traîner dans la boue, disant que je n’étais qu’un freak (une bête de foire, une aberration de la Nature), qu’un « monstre ». Il serait mensonger d’essayer de prétendre que ce genre de remarques et les regards emplis de mépris, de dédain et de dégoût qui les accompagnent ne blessent pas profondément, au risque d’anéantir une personne. Cela dit, les moments les plus difficiles sont souvent ceux où l’on est pris d’une sorte de fort instinct de survie et où l’on se raccroche à ce que l’on a de plus cher, à ce qui nous fait avancer. C’est ce qui s’est passé, et contrairement à ce à quoi ces personnes s’attendaient, leur attitude m’a, au final, confortée dans mes convictions… et dans mon identité ! C’est à ce moment-là que je me suis aperçue à quel point ces activités faisaient partie de moi, n’en déplaise aux mauvais esprits. Je crois d’ailleurs que c’est à partir de là que j’ai repris mes cartes pour de bon et que j’ai pratiqué plus régulièrement et de manière plus approfondie !
Comment assumer ?
Aujourd’hui, lorsqu’on me demande comment j’arrive à « assumer » ce que je fais « aussi bien », je réponds qu’en réalité, il n’y a rien à « assumer » : on est ce que l’on est, et ceux et celles à qui cela déplaît n’ont qu’à tourner la tête et regarder de l’autre côté de la route. Bien sûr, les choses sont plus complexes que cela, mais la vie m’a appris que s’il était malheureusement parfois préférable de « rester caché » (on y revient !) pour des raisons de bon sens selon les circonstances, il était préjudiciable de se cacher à outrance et d’agir ainsi en éternel coupable.
Ainsi, lorsqu’on me pose des questions sur mes activités, j’y réponds du mieux que je le peux, toujours en rationnalisant, car cela permet d’évacuer certaines peurs et idées reçues chez mon interlocuteur. Lorsque je rencontre une personne qui s’étonne de mes activités, je m’étonne de son étonnement afin de lui montrer que si l’on ne croise pas de cartomancienne tous les jours, l’activité en elle-même n’en est pas pour autant si surprenante ou « décalée ». Ce n’est qu’une façon de montrer que j’ai intégré cette activité comme étant quelque chose de naturel, une partie intégrante de mon monde et de mon identité.
Bien sûr, il est hors de question d’imposer ma vision des choses ou mes activités à qui que ce soit, et je peux tout à fait comprendre que selon sa culture ou son éducation on puisse être totalement réfractaire à ce genre de choses, comme je le suis certainement moi-même à d’autres. Aussi, lorsque j’ai un doute sur la tolérance d’une personne par rapport à cela, je ne lui en parle pas, tout simplement… à moins qu’elle ne me pose la question ! C’est ainsi que certains de mes amis de longue date n’ont découvert mes activités que très récemment !
Ceci dit, on est souvent étonné du nombre de personnes qui est en réalité intéressé par le sujet sans oser le dire ! À ce titre, de nombreuses personnes, dans mon entourage ou non, m’ont beaucoup surprise lorsque j’ai découvert qu’elles s’y intéressaient ou qu’elles étaient curieuses d’en apprendre davantage sur le sujet ! De telles réactions se rencontrent à peu près n’importe où : autour de soi, dans un café lorsqu’on sort son jeu de cartes, dans un salon (sans pour autant que les gens soient venus spécifiquement pour cela !), en bibliothèque, etc. Elles mènent souvent à de fascinantes discussions !
Vous l’aurez compris, le but de ce témoignage n’est pas de donner des réponses toutes faites ni de dicter les réactions à avoir absolument face à l’hostilité que l’on peut rencontrer, mais plutôt de proposer des pistes de réflexion aux personnes qui en souffrent ou qui se trouvent désarmées face aux remarques. Le seul véritable conseil que je pourrais donner au lecteur serait sans doute celui-ci : ce n’est qu’en intégrant ce type de pratique comme étant « normal » et « naturel » pour soi-même que l’on prend la confiance en soi et l’assurance nécessaires pour la présenter en tant que telle à autrui. Pour preuve, lorsqu’on me demande la nature de l’activité parallèle que je mentionne sur mon C.V., je réponds sans détour, ce qui a pour effet de crédibiliser l’activité en question. Mon interlocuteur ne remet jamais en question le sérieux ou la validité d’une activité qui lui est présentée sérieusement et avec assurance !
J’espère que cet article permettra à certains lecteurs de trouver les « stratégies » qui leur conviennent !
(© Morrigann Moonshadow, le 17 novembre 2013. Reproduction partielle ou totale strictement interdite.)
Bonjour Morrigann,
très beau témoignage, je crois que des pratiques telles que la cartomancie, la radiésthésie, le magnétisme, la voyance etc. toutes choses diabolisées parce que incomprises sont maintenant reconnues plus facilement. Les esprits s’ouvrent à notre époque et heureusement, ils ont dépassé le ‘ »ce qu’on ne peut pas prouver n’existe pas » et de plus en plus de scientifiques s’y intéressent, c’est très encourageant.
Je te souhaite une belle journée, bises.
Bonjour Triskèle,
Merci pour ton commentaire, je suis contente que cet article t’ait plu!
Pour ce qui est de l’ouverture d’esprit envers ces pratiques, même si pas mal de chemin a été fait depuis quelques années pour les démocratiser, il en reste encore beaucoup à parcourir en France pour que la plupart des esprits s’y ouvrent! Bien des gens ont « peur » de dire qu’ils s’y intéressent car le « qu’en dira-t-on » reste le plus fort… Cela dit, même si l’on est encore loin des pays anglophones qui culturellement n’ont jamais connu de nette cassure avec ce type de conception et du coup l’acceptent mieux qu’ici, on peut espérer être sur la bonne voie et pourquoi pas, d’ici quelques années (décennies), en voir la démocratisation et l’acceptation!
On croise les doigts!
Très belle journée à toi aussi,
Bises,
Morrigann
Témoignage très intéressant et fort utile en effet… Je suis passionnée par l’ ésotérisme depuis des années mais il n’y a que peu de temps que j’en parle plus autour de moi et notamment à mes amis. En ce qui concerne mes parents par contre, j’ai eu la chance qu’ils soient très ouverts et intéressès aussi par ce domaine ( mon père plus par le yi king et les thèmes de naissance, ma mère ainsi que ma grand mère plus par la cartomancie entre autres ).
Et là oui je le suis aperçue qu’autant que certains amis m’ont regardes comme si je venais de mars, que d’autres personnes aux contraires que je croyais totalement étrangère à tout cela m’ont montré leur intérêt.
Par contre j’ai préféré séparer au niveau internet mon activité professionnelle ( je suis costumière-photographe sous mon nom de marque, Madjeester ) de ma passion ésotérique. Non par honte ou gêne, simplement autant que les personnes qui vont suivre mon blog eso auront un lien vers l’aitre site si ils veulent découvrir mon activité artisanale, que de l’autre coté je n’en met pas; je préfère donner l’adresse aux personnes qui seront reellement intéressées par le sujet et quelque part gardée ce petit morCeau de moi plus » personnel ». Enfin petit n’est plus le terme exact vu l’ importance que ma quête spirituelle en général prend dans ma vie 😉
En tout cas merci de tous tes bons conseils !
Bonjour Louvemer,
Un immense merci pour ton témoignage! Comme tu le soulignes, les personnes les plus curieuses et les plus ouvertes d’esprit ne sont pas toujours celles que l’on pense, et cela donne souvent lieu à de bien agréables surprises!
Lorsque les gens voient que l’on est à l’aise dans ce que l’on fait et que l’on en parle sans complexe, ils sont rassurés… et ils parlent à leur tour plus librement de leur intérêt pour ces choses-là!
Je comprends tout à fait pourquoi tu as bien séparé tes activités ésotériques de tes activités de costumière! Malheureusement, on est obligé de procéder ainsi pour se protéger de certains préjugés. C’est ce que je fais aussi dans ma profession d’enseignante (dans le supérieur privé): je ne précise pas la nature de mon activité d’auto-entrepreneur pour éviter d’être « éliminée » d’office si je tombe sur une personne réfractaire, mais si l’on me pose la question, j’y réponds le plus naturellement possible, pour montrer que je conçois mon activité comme quelque chose de sérieux et de naturel. Mes étudiants, eux, ne sont bien sûr pas au courant (d’une part cela ne les regarde pas, et d’autre part, je suis à l’Ecole pour enseigner uniquement, pas pour démarcher une possible clientèle d’autre part, ce qui serait répréhensible).
Ton témoignage est très intéressant et je qui ravie que tu l’aies publié ici!
Je te souhaite une belle journée,
À très bientôt,
Morrigann
Oui en fait c’est ça qui parfois dur à comprendre, le regard de certaines personnes; autant que ne pas aimer je comprend sans souci, que se permettre de juger… ça non!!! Une des personnes qui a été le plus dans le rejet est étonnamment une personne pourtant passionée par la « magie », qui considère les tarots comme, je cite « une activité de seconde zone pour la divination » avec un mépris évident. Sans comprendre que les tarots sont le support (chacun son support, où est le souci?) et tellement riches!!! Sans même, je pense, vouloir comprendre, persuadée que seul « son chemin » est le bon. Et à l’inverse une amie très croyante et pratiquante catholique que j’aurais (à tort) imaginée plus fermée m’a dit « Ce qui compte c’est de croire en ce qu’on fait et que cela nous apporte du bon, que ce soit une foi, une pratique, peu importe le nom ». Comme quoi…
Pour mon activité professionelle par contre je me rend compte que plus ça va plus certains thèmes sont quand même inspirés de mon cheminement même si celui-ci n’est pas mentionné 😉
Déjà rien que par le tarot, certaines cartes m’inspirent tellement quand je les vois!!! Car en dehors du sens divinatoire il y a aussi à chaque fois le talent de chaque artiste qui a mis de soi pour créer les cartes…
Pour les étudiants ça oui je comprend parfaitement!!! Je fais de même car une partie de ma clientèle (plus la clientèle photographique d’ailleurs) ne comprendrait absolument pas, comme si celà faisait « moins sérieux »… quel dommage!
Une très bonne journée 🙂
Je suis entièrement d’accord avec toi: si les goûts et les couleurs ne se discutent pas, en revanche, je ne supporte pas non plus que l’on se permettent de juger (et de rabaisser) des activités que l’on ne connaît pas. Dénigrer des choses que l’on trouve « peu noble » n’engage que soi, certes, mais bien souvent en faisant cela on croit se placer en position de force… alors qu’en réalité on fait preuve de faiblesse d’esprit en se montrant fermé!
Ce que tu relates me fait beaucoup penser aux personnes qui méprisent l’usage des cartes sous prétexte que ceux qui y ont recours ont « besoin » de supports et ne sont pas des mediums « purs ». Ces personnes n’ont pas saisi toute la portée des cartes, qui va bien au-delà de la « divination » comme ils la définissent. Bien souvent, ces personnes ont des idées très limitées sur la cartomancie et les utilisations des cartes, qu’elles réduisent à cette « divination » qu’ils amputent déjà de bien des possibilités. Là encore, on se retrouve face à des préjugés, que l’on trouve aussi beaucoup dans les cercles ésotériques où, il faut bien le dire, tout le monde se tire dans les pattes à grands coups d’égo surdimensionné. Résultat: plutôt que de s’intéresser à ce que fait l’autre, on le dénigre.
De cette manière, on pense se « protéger » en ne montrant pas son ignorance… mais c’est raté! Bien des gens ont également tendance à « oublier » que les grands courants ésotériques et hermétiques qui pratiquent la magie cérémonielle (voir la Golden Dawn et les travaux de McGregor et de Waite) utilisent justement le tarot, notamment pour les éléments cabalistiques et les principes hermétiques qu’il intègre… mais aussi pour ses qualités d’outil divinatoire!
Il m’est également arrivé de croiser des catholiques et des musulmans pratiquants qui n’étaient pas réfractaires aux cartes, alors que comme toi, je m’attendais à l’effet inverse! J’en ai rencontré aussi qui bannissaient cela de façon très péremptoire, mais les personnes ouvertes étaient souvent des gens qui vivaient une spiritualité plus qu’une religion, c’est-à-dire qu’elles recherchaient leur propre bien-être sans en imposer les codes aux autres. Du coup, ces personnes ont un regard plus critique envers leur religion (système de codes et de dogmes imposé par l’humanité) et sont loin de tout prendre pour argent comptant.
Il est normal que ton travail artistique soit marqué par ton intérêt pour ces domaines, parce qu’ils font partie de toi, de ton identité. Ensuite, les personnes qui remarqueront ce type d’influence seront celles qui sauront en déchiffrer les codes et qui auront quelques notions. Cela fait aussi ta « patte »!
Très belle fin de journée!
Morrigann
Je reviens aujourd’hui sur cet article (que je me suis permise de mettre en lien dans le mien) car après mure réflexion, je me suis décidée à mêler un peu plus cet univers à ma vie professionnelle… j’en parle un peu dans cet article:
http://www.grimoiredelaroutedusage.com/de-retour-pour-cette-nouvelle-annee/
Comme quoi finalement certaines choses sont faites pour évoluer, et je pense que ton article m’a pas mal aidée dans cette réflexion et ma façon de voir les choses actuelle.
Encore merci pour on ouverture d’esprit et tes articles si pertinents et intéressants!!
Coucou Louvemer!
Bravo pour ta sortie du placard à balai! Je suis heureuse que tu aies pris cette décision, car elle te donnera plus de liberté au niveau de tes créations!
Il fallait simplement que le bon moment arrive pour que tu prennes ce tournant. Je suis vraiment contente (et flattée!) que mon article ait pu t’aider et t’ait donné confiance!
En tout cas, je suis toujours ravie de voir que mes articles peuvent apporter un peu d’aide à ceux qui passent par ici, et je suis heureuse que tu en fasses partie! Je sens que tu vas t’éclater avec tes nouvelles créations!
Un immense merci pour les liens que tu as insérés dans ton article!
À très vite,
Morrigann